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L’interdite
Fer de lance et vitrine de Jolie Petite Édition, L’interdite est notre revue littéraire. Sulfureuse par essence, suscitant toujours le débat, elle a pour rôle de permettre à nos auteurs d’y publier ce qu’il serait aujourd’hui impossible de publier ailleurs. Si d’aucuns aiment l’étiqueter politiquement, L’interdite se veut en réalité ouverte à tous. Que les idées de nos auteurs soient fortes ou leurs textes singuliers, elle est la revue qui entend le mieux leur permettre d’être eux-mêmes, jusqu’au tréfonds de leur âme d’où resurgira in fine la lumière. À la grâce de Dieu ou de toute autre transcendance !
Collectif
L’interdite – Troisième numéro – Un souvenir d’été

Le dernier jour de l’été 2021, notre ami Roland Jaccard s’est donné la mort. Pour le troisième numéro de notre belle Interdite, il venait de nous offrir le souvenir de son été 1981, celui du milieu de sa vie.
Alors que nous nous enfonçons lentement dans six mois d’une grisaille terne, les auteurs de L’Interdite entrent en résistance en vous invitant à partager leurs souvenirs d’été.
Cet été nous fait vivre, cet été nous transforme, à l’image de Dexter Dex Tao devenu Seta d’Hoyos, tandis que s’échouent sur les côtes françaises, Julien Cendres, Emmanuel Carpentier et Anthony NW. Arthur Pauly, singulier, vous convie à Saint-Martian et, Claire Buisson, dans sa maison de famille.
On trouve aussi dans ce numéro des textes de nos très chers amis, Maxime Dalle et Gilles Brochard, que nous ouvrons par un poème de Louis Bance et refermons par une nouvelle sado-masochiste de Norbert Williams.
Emma Lamy nous fait le plaisir d’illustrer nos mots. Hannibal Volkoff et Raphaël Kessler nous offrent quelques photos.
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Collectif
L’interdite – Deuxième numéro – Nous dégusterons ces années vingt !

Nos années vingt débutent ! Bien loin des années folles de nos aïeuls, traversées d’inquiétantes questions quant à l’effondrement de nos joies et de notre civilisation, les voici qui frappent à notre porte. Les trublions de L’interdite décident alors de leur ouvrir pour mieux engager le dialogue.
Au programme de ce numéro, vous retrouverez des textes d’Emmanuel Carpentier, d’Arthur Pauly, de Roland Jaccard, de Massimiliano Mocchia di Coggiola, d’Anne Kasparov et de Maxime Dalle, le tout précédé d’une tonitruante et lapidaire ouverture de Julien Cendres, entrecoupé d’un entretien avec le terrible Hannibal Volkoff, mais surtout refermé par un bréviaire néoféministe de dix-sept pages à travers lequel Soleil Håkansson devrait en fâcher plus d’une…